Un cadeau de Dieu ne se refuse pas
Chers Enfants de
Dieu,
pour ceux qui le sont,
et pour les autres, je demande au Seigneur de venir vous visiter, particulièrement là où vous avez mal :
♥ « L'homme a cru qu'il lui suffisait de faire ceci ou cela pour être agréable à Dieu. Mais c'est à lui que l'on en veut. L'homme n'est pas sauvé par ses œuvres, si bonnes soient-elles. Il lui faut encore devenir lui-même l'œuvre de Dieu. Il doit se faire plus malléable et plus humble entre les mains de son Créateur que l'argile dans les mains du potier. Plus souple et plus patient que l'osier entre les doigts du vannier. Plus pauvre et plus abandonné que le bois mort dans la forêt au cœur de l'hiver.
A partir seulement de cette situation de détresse et dans cet aveu de pauvreté, l'homme peut ouvrir à Dieu un crédit illimité, en lui confiant l'initiative absolue de son existence et de son salut. Il entre alors dans une sainte obéissance. Il devient enfant et joue le jeu divin de la création. Par-delà la douleur et le plaisir, il fait connaissance avec la joie et la puissance. Il peut regarder d'un cœur égal le soleil et la mort. Avec la même gravité et la même allégresse. » 1 p.125 du livre « sagesse d'un pauvre du p. Eloi Leclerc »
Le Seigneur me demande de vous écrire parce qu'un Cadeau de Dieu ne se refuse pas. Et vous avez refusé Son Cadeau.
« La souffrance humaine inspire la compassion, le respect et à sa manière, elle intimide. L'Ecriture Sainte est le grand livre sur la souffrance. La souffrance doit servir à la conversion.
- « si le monde vous hait, sachez que Moi, il m'a pris en haine avant vous… « ; le serviteur n' est pas plus grand que son maître ».
« Il nous est interdit de « passer outre », avec indifférence, parabole du bon samaritain[1] Evangile de Luc, 10, 29-37,
mais nous devons « nous arrêter auprès de lui ». 1Salvifici Doloris du pape Jean Paul II, 11/01/1984, lettre apostolique.
Seigneur, s'ils ne t'écoutent pas, comment veux-tu que j'arrive à les toucher, je ne suis qu'une pauvre femme qu'ils ne connaissent pas. Alors, ils ne vont pas me faire confiance.
Que veux-Tu que je leur dise ? Je suis inspirée de vous raconter une belle histoire.
D'habitude, ce sont aux enfants que l'on raconte des belles histoires. Mais, peut-être avez-vous envie que Jésus vous prenne sur ses genoux et vous dise : « Ecoute » et vous répondez :
« Parle, Seigneur, ton serviteur écoute. » Premier livre de Samuel 3,9.
L'Esprit Saint nous pousse toujours à l'amour, à l'amour de Dieu et à l'amour du prochain. Il approfondit en nous notre lien avec le Christ. C'est cela la marque de Dieu, la marque du Saint Esprit. L'Esprit Saint mobilise toutes nos forces, toutes nos énergies, toutes nos capacités d'intelligence en vue de contempler Dieu, c'est-à-dire de L'aimer le plus possible et en vue d'aimer le prochain.1 Suivre l'Agneau partout où Il va, du père Marie-Dominique Philippe, éditions St Paul, tome 1 page 42.
Jésus nous aime. C'est la grande victoire. Être aimé de Jésus, n'est-ce pas la plus grande des victoires ? Soyons de ceux qui, à travers tout, veulent être fidèles.[1] 1L'acte d'offrande, retraite avec la petite Thérèse, du père Marie-Dominique Philippe, édit. Saint Paul, page 26
Au Puy, la Vierge Marie est honorée comme Mère de Dieu (en grec : Theotokos) sous le vocable de Notre Dame de l'Annonciation. Quand le Vendredi Saint est célébré le 25 mars –ce qui arrive deux à quatre fois par siècle – il coïncide avec la date habituelle de la fête de l'Annonciation du Seigneur. Cette conjonction du mystère de l'Incarnation du Seigneur et de celui de la Rédemption, est traditionnellement marquée au Puy par un Jubilé.
Je continue mes apostolats en catéchèse. Le jubilé du Puy s'approche à grands pas et je propose mes services, je laisse le soin à la responsable de choisir mon poste. Il m'est demandé d'être à l'accueil. Ma formation de catéchiste et d'hospitalière Notre Dame de Lourdes se révèle bien utile. Je prépare les pèlerins à leur démarche jubilaire. J'explique l'indulgence plénière : lorsque je commets un péché, j'offense l'Amour infini, j'abîme, et parfois même je détruis, l'amitié que Dieu me propose en son Fils. Un tel acte a des conséquences dans ma vie, dans celle de mon prochain, et dans le monde car Dieu a voulu que l'humanité soit une grande famille dont les membres sont solidaires les uns des autres.
Après avoir regretté ma faute et reçu le pardon de Dieu dans le sacrement de la Réconciliation, je souhaite réparer les conséquences de mes actes. Ceux-ci ont troublé, plus ou moins gravement, l'ordre du monde : un ordre de justice et de paix, établi par l'Amour, ordre qui me permet de glorifier Dieu par ma vie et d'être un soutien pour mes frères. J'accomplis donc, avec la grâce de Dieu, une réparation ou pénitence.
Cependant, dans son immense bonté, le Christ peut m'appliquer les mérites infinis de sa Passion et me faire bénéficier, par un chemin qu'Il a choisi, de la victoire de la Croix. Cette application compense, et bien plus encore, mes manques et me remet, en quelque sorte la dette que j'ai contractée à l'égard de l'Amour Divin. C'est ce que l'Eglise appelle l'indulgence : don de la miséricorde du Père, accordé en son Fils dans l'Esprit Saint. Ce don est transmis aux hommes par l'Eglise.1 Livret du Jubilé du Puy 2005
Le Seigneur m'a donné un talent que j'ignorais. J'accompagne soit des petites équipes, soit des grandes, jusqu'à cent personnes à la fois. Je compose une prière que je médite avec chaque groupe. Je fais des rencontres extraordinaires. Comme je ne chante pas très juste, un coéquipier hospitalier accepte de faire chanter les fidèles. Il les accompagne jusqu'au Baptistère (deuxième étape du Jubilé). Un prêtre chapelain se rapproche de lui et dit :
- « Pierre, cette religieuse a fait une catéchèse remarquable sur l'explication du jubilé et l'indulgence plénière.
- « Père, cette femme n'est pas une religieuse. Elle est mère de famille ! »
Surprise totale du chapelain. C'est l'audace que donne la force de la prière qui peut tromper un prêtre sur son identité. J'accueille un couple Belge dont le mari me confie sa difficulté pour vivre la Messe dans son village. Je lui donne quelques idées pour dépasser ce blocage et vivre ce beau sacrement de l'Eucharistie. Sa femme, à son tour, me partage son souci et me demande si elle peut m'embrasser. J'y consens bien volontiers. Ils viendront témoigner tous les deux que le Seigneur l'a libéré et qu'il a vécu le sacrement de l'Eucharistie d'une nouvelle manière. Leur cœur est plein de joie ! Le mien aussi !
Je suis de permanence à l'accueil. Je suis seule. Tous les accueillants sont partis à la Messe. Un couple nantais rentre dans le séminaire, lieu d'accueil et se dirige vers le stand sur la Confession. L'homme me confie qu'il aime beaucoup le saint Curé d'Ars. Je suppose qu'il a un souci avec le sacrement de Réconciliation quand j'aperçois sa femme me faire un signe discret des yeux. Je venais de lire « de la prison à la louange1 ». 1Livre de Merlin Carothers, c'est la prison de l'absence de pardon. Le manque de pardon est une gangrène qui dévore tout sur son passage. Une bête tapie qui vous détruit de l'intérieur et vous rend malade, maladie tant physique que psychologique. Elle vous abat et même un chêne ne peut résister à cette tempête violente.
L'absence de pardon peut entraîner des maladies, tel un cancer. Un médecin vient de guérir quinze mille personnes de cette maladie, par le pardon. Des patients en phase terminale du cancer ! Aucun n'est décédé de ce mal, et certaines ont eu plusieurs années de rémission1. 1Sur le site de la Bonne Nouvelle www.labonnenouvelle.com
Quand j'ai compris d'où venait son dilemme, je lui ai proposé un confesseur. Il n'a pas accepté, mais il était troublé. Comme je sortais d'une retraite dans la Famille Saint Jean, j'étais dans une telle forme spirituelle que j'ai pu le faire réfléchir. J'ai pointé là où cela fait mal. Je l'ai sensibilisé. Il m'a considérée aussi comme une religieuse. Ils ont quitté l'accueil. Sa femme est revenue quelques minutes plus tard me dire que son époux était assis sur un banc et qu'il méditait mon enseignement. Elle m'a demandé de prier pour toute leur famille.
Ces rencontres bouleversantes m'ont beaucoup émue. Ainsi celle qui suit. Une bénévole m'interpelle dans la rue qui monte à la cathédrale :
– « Madame, voulez-vous expliquer à ces touristes ce qu'est le jubilé ? ». Je suis surprise par cette requête, la personne qui s'adresse à moi pouvant l'expliquer elle-même.
Donc à ces touristes, je leur décris l'histoire du jubilé et conclus :
- « un cadeau de Dieu, cela ne se refuse pas ! »
Je vois ces vacanciers, deux couples, dont l'un est plus âgé, partir en courant à l'accueil démarrer leur parcours jubilaire. J'ai eu la joie de leur remettre leur écharpe jubilaire. Ils m'ont dit leur reconnaissance.
Toutes ces rencontres montrent que si le jubilé agit sur le cœur des personnes accueillies, il agit aussi sur le cœur des accueillants. Nous sommes tous bouleversés devant les merveilles que Dieu nous donne de vivre.
Comment ai-je su qu'il fallait vous écrire, en priant en langues à la demande de l'Esprit de Vérité et les mots que je devais vous écrire, sont venus.
Je chante ces paroles qui me viennent à l'esprit « je mets mon espoir dans le Seigneur, je suis sûre de Sa Parole ». Dans l'obéissance au Seigneur, je me dois de vous écrire ce qu'Il va m'inspirer.
Et vous ne savez pas que tous les papes ont des sorciers pour les aider à faire leurs mauvais coups.
Le père Pamphile Fanou[1], (Le livre du colloque de l'IAD 2006. La prière de délivrance et d'exorcisme n°4 Page 153. Page 160. Dont l'exorcisme face aux nouveaux défis de la sorcellerie. Père Pamphile ©Editions Bénédictines.)
Père Pamphile exorciste béninois que j'ai contacté sur la recommandation du père E. décrit « page 153 ... la catégorie de sorcier...en liaison avec le démon et qui peut se déplacer invisiblement ou visiblement, jeter des malédictions, rendre les autres malades invisiblement ou leur infliger une mort subite. »
Page 160 : « le pouvoir de vous mettre des objets dans le corps, c'est le chacatou. »
Il m'a donné aussi de judicieux conseils que j'ai appliqués.
« Mettre des animaux dans le corps, Jean Pliya en parle aussi [2]»(Article écrit par Jean PLIYA et publié dans: "La Prière de Délivrance et d'Exorcisme - face aux défis actuels du démon –
Actes du colloque de Hochaltingen - 2003 - International Association for Delivrance (I. A. D.)" p.152-183. N° ISBN: 2-84863-010-8 - © Editions Bénédictines)
le « chakatou », qui loge dans le corps de la victime des tessons de bouteille, des aiguilles, des hameçons, des dents d'animaux, même des animaux vivants: gecko, lézard, poisson, etc.
Si je mentionne ces différents prêtres exorcistes et laïcs étrangers, c'est pour appuyer les motions charismatiques reçues du Seigneur et mes différentes découvertes dans le cadre de cet apostolat pour lequel l'Esprit Saint m'a appelée, Dieu m'a donné la grâce de prier dans différents services d'exorcisme.
Le démon n'est pas un symbole, rappelons-nous les Saintes Ecritures, il est venu voler, égorger, détruire. Et il s'y emploie avec ses différents sbires, il continue son œuvre de destruction, sans que presque personne ne l'arrête. Et on lui laisse une autoroute pour commettre ses méfaits !
En 2003, l'association internationale des exorcistes savait et les exorcistes avaient été informés que l'on pouvait mettre des animaux dans le corps d'une victime, alors pourquoi en 2013 et les années suivantes, je n'ai pas été crue et qu'on a laissé souffrir toutes les victimes ? Pourquoi ?
Dans le livre du colloque de l'IAD 2006[3],
(Livre du colloque de l'IAD 2006. La prière de délivrance et d'exorcisme n°4. Page 137. Dont le prêtre face à la possession. Père Dagnon. ©Editions Bénédictines.)
le père Gilbert Dagnon intervient : N°5 Qui possède qui ? Pendant les exorcismes, c'est souvent le démon qui parle.
Je vais demander de l'aide à Saint Jean qui reposa sur la poitrine du Seigneur, au cours de la dernière Cène. Que le Verbe qui s'est fait chair, dont nous a parlé saint Jean, habite sans cesse nos cœurs.
Un hommage d'une personne malade à celles qui servent :
« Dans vos blouses, vos longs tabliers, Hospitalières de Lourdes, vous voici à la peine. Sans cesse au chevet de malades tremblants de révoltes et d'angoisses que la souffrance entraîne. Vous êtes à l'écoute des misères, des chagrins. Mais rien ne peut changer votre joyeuse humeur. Un regard, un sourire, une pression de la main, parole affectueuse qui réchauffe le cœur. Cinq jours qui sont pour vous des jours de lassitude. Ceux que vous entourez les voudraient bien plus longs. Cinq jours qui sont pour eux jours de béatitude. Des jours de paradis et de bonheur profond. Pour tant de gentillesse et de soins vigilants, que cet humble poème soit un merci sincère. Merci que vous dira un jour la Bonne Mère, Hospitalières de Lourdes, vêtues de bleu et de blanc. Je rajoute de gris éclairé de blanc, l'uniforme des Hospitalières du Berry.
L'Esprit Saint nous pousse toujours à l'amour, à l'amour de Dieu et à l'amour du prochain. Il approfondit en nous notre lien avec le Christ. C'est cela la marque de Dieu, la marque du Saint Esprit. L'Esprit Saint mobilise toutes nos forces, toutes nos énergies, toutes nos capacités d'intelligence en vue de contempler Dieu, c'est-à-dire de L'aimer le plus possible et en vue d'aimer le prochain.1 Suivre l'Agneau partout où Il va, du père Marie-Dominique Philippe, éditions St Paul, tome 1 page 42.
Jésus nous aime. C'est la grande victoire. Être aimé de Jésus, n'est-ce pas la plus grande des victoires ? Soyons de ceux qui, à travers tout, veulent être fidèles.1 L'acte d'offrande, retraite avec la petite Thérèse, du père Marie-Dominique Philippe, édit. Saint Paul, page 26.
Le 4 Août 2015, en la fête de Saint Jean-Marie Vianney, le Saint Patron des Curés !
Le Seigneur vient de m'ordonner de raconter l'attaque sournoise que m'a infligée, dans mon diocèse, un sorcier prêtre !
J'avais travaillé et prié avec lui et un autre prêtre avec l'accord de l'évêque en 2014 pour la délivrance de patients et j'avais découvert que ce l'on prenait pour un charisme n'en était pas un ! Sans le discernement direct des esprits, c'était impossible de le découvrir !
Et j'étais la seule à l'avoir reçu ! Pour me faire taire, le meilleur moyen était de me tuer et il a essayé plusieurs fois.
Parfois des prêtres sont venus à mon aide ; d'autres fois, j'ai dû couper seule « le sceau de mort infligé par une personne ecclésiastique ayant un pacte de sorcellerie », parole qu'avait reçue pour moi un prêtre charismatique dans la délivrance et envoyée par sms.
Le Seigneur est très bon, Il ne laisse pas ses enfants dans la souffrance. Mais ce sorcier prêtre avait imaginé un dessein encore plus machiavélique.
Le jour du mercredi des Cendres, le 18 février 2015, dans une église, au moment où je quittais ma chaise pour recevoir les Cendres, il me fut introduit mystiquement quelque chose dans mon ventre, et mes côtes furent soulevées avec force, et la douleur m'arracha un cri !
J'ai tout offert au Seigneur en Lui disant que j'allais vivre un Carême particulier. Mais, je ne savais pas ce que c'était. Cette bête resta tapie dans mon ventre sans créer trop de désordres, j'étais fatiguée seulement. Par contre, tout a été fait pour que je perde la foi. Je l'avais mise sur le compte du combat spirituel pour ce Carême.
Quand le 29 mai 2015, en prononçant à voix haute le nom d'une malédiction de 3000 ans avant Jésus-Christ, (je vous conseille de lire le neuvième livre) donnée par le Seigneur et que j'avais brisé un jour pour une personne originaire d'une région particulière, l'animal s'est réveillé, il s'est déployé dans mon ventre et mes côtes se sont soulevées comme la première fois avec une telle force que je suis restée stoïque et silencieuse malgré la souffrance intense qui me submergeait.
Je venais de découvrir ce qui m'habitait, je pensais à un gros serpent, mais j'ai découvert que c'était un dragon-vouivre lié à des énergies telluriques et cosmiques lié à l'église et en lien aussi avec cette vieille malédiction, citée plus haut. Rien que le nom pouvait me faire mourir de peur.
De très nombreux Saints et saintes ont été entraînés au combat spirituel, ils nous montrent le chemin. N'ayons pas peur de leur demander leur aide dans la Communion des Saints. Je m'appuie très souvent sur la litanie des Saints et Saintes Exorcistes. Je souligne ceux que le démon n'aime pas et j'aime les reprendre.
« Dieu ne gaspille pas les miracles.» « A travers l'histoire du salut - depuis Josué, jusqu'à Moïse, aux douze Apôtres, aux Saints de l'Église Catholique tout au long des siècles - Dieu a accordé des miracles dans un seul but primordial : ils servent de garantie divine pour un témoin qui implore le miracle en Son Nom.
Quand Dieu choisit un témoin et ensuite associe un miracle authentique à l'affirmation de ce témoin, nous pouvons savoir avec certitude que le témoin est digne de foi.
Dieu n'accorde pas de miracles pour se porter garant de témoins douteux. Dieu ne choisit pas de témoins douteux.
Non, Dieu ne gaspille pas les miracles.1» [1] Extrait du livre « la bataille finale du démon », 1er chapitre, » le Message et le Miracle » de l'Abbé Paul Krammer site : https://static.blog4ever.com/2009/10/361791/La-bataille-finale-du-d-mon-livre.pdf page 23 lue fin août 2016.Avec l'autorisation de Charly Buttafuoco du site Vie-Nouvelle.net. Donnée le 20/01/2017.
Le sorcier mort qui m'habitait fin 2013 et 2014,
s'est manifesté au sanctuaire de Rocamadour lorsqu'on nous a raconté que la cloche sonnait seule, sans intervention humaine, lors de naufrages de marins en mer. L'âme de ce marin a réagi tout de suite.
Cet homme de son vivant avait commis l'adultère et il n'avait qu'un but me faire tomber aussi dans l'adultère, ce fut un combat personnel que j'ai pu gagner avec l'aide du Seigneur. Et ainsi pour tous les péchés qu'il avait commis de son vivant. Cet homme avait assassiné une personne.
Dans ma prière personnelle, il réagissait sur certains mots comme Dieu des « martyrs » ! En effet, il avait été condamné au bagne à Cayenne, portant des fers aux jambes et aux pieds. Je ressentais dans ma chair ces fers par le discernement direct des esprits. Il a fallu petit à petit le familiariser avec les Saintes Ecritures, l'amener à connaître Jésus, sa vie, sa Passion, sa Résurrection. Puisque je le portais en moi, il participait aux sacrements que je recevais.
Au lieu de lui donner la vie puisqu'il était mort, j'allais lui donner la vie spirituelle, l'enfanter à la vie spirituelle en lui faisant découvrir la Foi, en un mot, l'évangéliser, même si cela était accompagné pour moi d'épreuves physiques et morales.
L'âme dans le passage de la mort dans le corps humain vivant s'entend, elle fait un bruit comme si l'on avait faim. Elle se situe plutôt à gauche dans le corps, au niveau du ventre.
J'ai remarqué que les personnes atteintes de bipolarité et de schizophrénie ont souvent en elles des âmes dans le passage de la mort.
En effet, on entend des voix, mais ce ne sont pas les nôtres si l'on sait être attentif.
Un jour, rentrant dans une église où trône une belle statue de Jésus miséricordieux, je l'ai entendue distinctement dire « salut, roi des Juifs » ! Bien que surprise, j'étais persuadée que cela ne venait pas de moi. Et j'ai prié Jésus pour qu'Il m'éclaire. C'est Lui qui m'a appris que j'étais habitée d'une âme dans le passage de la mort.
Physiquement : la personne a mal à l'estomac, au nombril pour être précis et elle a une douleur au sternum, peut-être au dos aussi.
Puis, un jour au moment de la Toussaint 2014, lors d'une écoute dans une chapelle d'un témoignage sur la confession, cette âme dans le passage de la mort demandera le Baptême. Puis, elle me remerciera de ce que j'ai fait pour elle.
« Tu es bonne », me dira-t-elle. Je l'entendis à l'intérieur de moi. Le prêtre m'expliqua comment la baptiser, mais c'est le prêtre qui lui pardonna tous ses péchés et la baptisa.
Quant à moi, je lui pardonnais les souffrances que j'avais vécues lors de sa présence en mon être et la remettais à la Justice et à la Miséricorde de Dieu, sans me poser des questions théologales, comme je l'ai lu dans mon livre de cours « Un guide pour la délivrance » de Francis MacNutt.
Pour permettre à ces âmes dans le passage de la mort de monter vers Jésus, il est indispensable de les libérer de tous leurs esprits impurs liés aux péchés graves qu'ils ont commis de leur vivant ; quand c'est un sorcier, il faut couper le sacrifice de son âme faite à Satan.
Saint Pio de Pietrelcina avait la mission divine de « sauver des âmes », c'était une belle mission donnée par le Seigneur.
Je me répète, le Sacrement de Réconciliation est indispensable, n'ayons pas peur de le recevoir très souvent. A la mort, une âme qui s'est confessée souvent et a vécu régulièrement des sacrements pourra partir dans la paix rejoindre son Seigneur.
Des questions/réponses au Cardinal Lustiger
Mon mari et moi sommes invités par Monseigneur Brincard, Evêque du Puy, à un repas-débat avec le Cardinal Lustiger. Les convives sont très nombreux et de milieux divers. Nous nous étions présentés au Cardinal à l'apéritif et nous avions refait connaissance. A ce repas, il est proposé aux invités de poser des questions, la réponse était apportée par le Cardinal. Dans ce genre de réunion, et devant ce parterre d'érudits, je ne me mêle jamais de la discussion, préférant écouter la richesse des échanges.
La catéchèse est abordée. Je sens à l'intérieur de moi-même un bouillonnement exceptionnel. Je réalise que l'Esprit Saint désire que j'intervienne sur ce sujet qui me passionne. Mais j'ai tellement peur que je résiste. Mais Il insiste tellement que mes dernières défenses sautent. Je demande à mon mari d'indiquer à notre Evêque, que je désire poser une question. Monseigneur Brincard présente ma requête au Cardinal Lustiger. Je prends le micro et j'annonce malgré ma peur avec une grande audace que je vais poser deux questions en forme de témoignages.
Je suis tellement émue que je ne sais plus comment on s'adresse à un Cardinal. J'obéis à l'Esprit Saint, mais je suis tétanisée.
Je témoigne qu'une mère de famille décède le jour de la Fête des Mères. Ses enfants ont leurs camarades dans le collège où je fais de la catéchèse. Les professeurs ne les autorisent pas à se rendre à l'enterrement le mardi suivant. Mais ils me les confient. Les collégiens se sont installés dans la chapelle avant mon arrivée et personne ne m'a prévenue. Fait exceptionnel, je n'ai pas ma Bible, ni mon chapelet, ni des textes de prière, je n'ai rien. Je suis pauvre comme Job et je n'ai que ma voix pour prier Dieu. Je me présente à la chapelle à 15h15 pour l'Adoration Eucharistique et je vois les filles d'un côté, les garçons de l'autre. Les filles pleurent, les garçons se retiennent. Quand je leur demande pourquoi, ils me disent :
- « nous n'avons pas le droit de pleurer. »
Je leur explique que c'est faux. Tout être humain a le droit de pleurer, de crier sa révolte car les larmes libèrent.
Deux filles de mon groupe de catéchisme (TRP = temps de réflexion et de partage) sont révoltées. Tous le sont, mais celles-là plus particulièrement.
- « C'est Dieu qui a fait mourir cette maman. », me dit l'une.
Je suis complètement démunie face à cette révolte légitime.
Et j'implore le Seigneur pour qu'Il m'aide à trouver les mots justes et j'ouvre le Tabernacle pour qu'Il guide Lui-même ces jeunes.
Jésus se sert de moi. Les adolescents crient leurs révoltes, leurs douleurs devant cette mort absurde, une rupture d'anévrisme au moment où elle recevait ses cadeaux de fête des mères.
- « Amélie1 Le prénom a été changé, non, Dieu n'a pas fait mourir cette maman ». J'explique la maladie, la mort.
Je sens que la vive tension s'apaise. De l'absurdité de la mort de cette mère, ils vont passer à leurs problèmes personnels. J'essaye de répondre, je prie toujours le Seigneur de m'inspirer. D'habitude, il y a une autre catéchiste, oblate aussi, plus âgée ayant plus d'expérience, et une sœur dominicaine. Mais ce jour-là, Jésus a voulu que je sois toute seule avec ces jeunes et avec Lui. Quelle confiance de Sa part !
Comme je n'ai pas mon chapelet, j'envisage de compter sur mes doigts, une jeune l'ayant proposé. Mais elle le sort de son sac, ce chapelet que j'avais rapporté de Lourdes et offert à mon équipe.
La fin est beaucoup plus joyeuse que le début. Je suis restée avec ces jeunes deux heures, je n'ai pas vu le temps passer. Je m'attends à une remontrance pour les avoir gardés si longtemps, mais personne ne me dira rien. Je témoigne donc auprès du Cardinal que mettre ces Jeunes en présence de Jésus par l'Adoration Eucharistique est une catéchèse excellente. Cela vaut toutes les meilleures catéchistes du monde, car c'est Lui, Jésus, le seul Educateur.
Aussi, je conclus en proposant au Cardinal que l'Eglise invente des JMJ pour les adultes car le Jubilé a remis debout des centaines de pèlerins. Des personnes qui ne s'étaient pas confessées depuis très longtemps : quarante ans pour certaines. Et ô miracle, il me remercie et me félicite ! Je suis abasourdie. Je ne m'attendais pas à une réponse pareille. Ma main droite est prise d'un tremblement nerveux que je ne peux pas maîtriser et qui m'empêche de finir mon dessert. J'ai le choix entre ne pas finir mon dessert et passer pour une impolie ou envoyer le dessert dans l'assiette de l'Evêque qui est presque en face de moi. Le choix est rude. Mais je pense que Monseigneur Brincard a vu cette situation de détresse, car il a fait applaudir les serveuses, ce qui a permis à ma main de retrouver sa mobilité et j'ai pu finir mon dessert.
En sortant, le Vicaire général, qui nous raccompagna parce que le Cardinal et l'Evêque s'étaient échappés rapidement, me congratule car je suis la seule à avoir été félicitée par le Cardinal.
Je lui réponds :
- « Père, c'est normal car lorsqu'on fait passer Jésus devant soi ; on reçoit des cadeaux. »
Je n'ai pas réfléchi à ma répartie.
Cette réponse du prélat m'a surprise et m'a confortée que l'amour de Jésus et du prochain vont bien de pair. L'amour seul donne un sens à sa vie. A ceci nous avons reconnu l'amour :
« Celui-là a donné sa vie pour nous ». 1 Jean 3,16
Le sourire de Marie
♥ Jean a reçu le sourire de Marie à la Croix. Le sourire de Marie à Jésus à la Croix était pour Jean, pour que Jean le reçoive. Quand Jésus dit à Marie :
» Femme, voici ton fils ».
Elle regarde Jean à travers les larmes et dans un sourire. Le sourire qu'elle donne à Jésus, elle le donne à Jean ; et le sourire qu'elle donne à Jean, c'est celui-là que nous devons recevoir, pour que, même au milieu des souffrances et des luttes, même quand nous sommes un peu brisés, il y ait ce sourire d'amour pour Jésus, pour Marie, pour nos frères.
Le sourire, c'est l'expression de la victoire de l'amour. Quand l'amour est victorieux, il s'épanouit dans un sourire – et un sourire virginal parce que c'est un amour virginal -, dans un sourire qui prend tout, qui est accueil et qui est don.[1] Note 1 du prologue Congrégation Saint Jean, Charte de Charité.
Tous mes vœux de bonne année nouvelle, que le Seigneur vous aide à la vivre selon Sa Volonté et avec l'aide de la Vierge Marie.
♥ secret de sainteté et de bonheur : enseignement du cardinal Mercier sur le Saint Esprit ;
-« ô Saint Esprit, âme de mon âme, je vous adore. Eclairez-moi, guidez-moi, fortifiez-moi, consolez-moi, dites-moi ce que je dois faire, donnez-moi vos ordres, je vous promets de me soumettre à tout ce que vous désirez de moi et d'accepter tout ce que vous permettrez qu'il m'arrive, faites-moi seulement connaître votre volonté… »
Si vous faites cela, votre vie s'écoulera heureuse, sereine et consolée, même au milieu des peines, car la grâce sera proportionnée à l'épreuve, vous donnant la force de la porter et vous arriverez à la porte du Paradis. Cette soumission au Saint Esprit est le secret de la sainteté1. Dons du Saint Esprit, Paroles pour aujourd'hui, (enseignements), site www.tressaint.com
Pour conclure :
De Sainte Bernadette
« Obéir pour plaire à Jésus, c'est aimer ».
« Tout souffrir en silence pour plaire à Jésus, c'est aimer ».
♥ «…La Vierge Marie nous invite encore une fois aujourd'hui à faire partie de sa légion de combat contre les forces du mal. Comme signe de notre participation à son offensive, elle demande, entre autres, la conversion du cœur, une grande dévotion à la Sainte Eucharistie,(pour ceux qui veulent rester fidèles à Jésus-Christ, c'est la communion spirituelle dans les Catacombes) la récitation quotidienne du chapelet, la prière sans cesse et sans hypocrisie, l'acceptation des souffrances pour le salut du monde….
Prions la Sainte Vierge pour nous fortifier dans le combat spirituel de chaque jour afin que nous puissions vivre en plénitude notre foi chrétienne en pratiquant les vertus qui distinguaient la Vierge Marie, fiat, magnificat, stabat : c'est-à-dire, une foi intrépide (fiat), une joie sans mesure (magnificat) et une fidélité sans compromis (stabat). » Extrait de l'homélie du 8 décembre 2007 à Lourdes, par le Cardinal Ivan Dias, Lourdes Magazine Janv-Fév 08.
Et quand viennent l'épreuve, la maladie, les accidents, les échecs, si la foi n'est pas là, c'est le désespoir, c'est le malheur.
Demandons le don
suprême de la foi. Et que Bernadette nous aide à voir Dieu partout, même quand
Il est caché sous l'épaisseur de la misère humaine.
Retenons surtout les paroles de la Vierge à Bernadette :
« Je ne vous promets pas de vous rendre heureuse en ce monde, mais en l'autre. »1 Livre « ce que croyait Bernadette » de Monseigneur Théas, Editions Mame
Des extraits de mes livres. Le Cadeau de Dieu est sur mon site aux 73ème et 74ème articles.
https://lajoieretrouvee.
wixsite.com/auteure/blog
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